25/09/09 - Observatoire des antennes relais
Antennes relais, le MoDem tient au principe de précaution
Lors du conseil municipal du vendredi 25 septembre le MoDem a soutenu la motion présentée par les Verts sur « la mise en place d’un observatoire pour une réglementation des implantations des antennes relais sur notre territoire ».
Le principe de précaution fait partie du développement durable et nous le devons aux générations futures. Cette proposition d’un observatoire pour une réglementation des implantations sur notre territoire appartient donc au principe de précaution et c’est en ce sens que nous devons le mettre en place. Il n’est pas question d’affoler les populations ni d’en faire un enjeu politique : c’est la santé de nos concitoyens qui est en jeu et dont nous avons la responsabilité dans le cadre de notre mandat.
Nous avons tous lu des études divergentes sur la dangerosité ou non de ces antennes : les fournisseurs de téléphonie affirment qu’elles ne le sont pas, des études scientifiques indépendantes affirment le contraire. Des municipalités les interdisent près des écoles maternelles, elles ont peut-être raison. Des tribunaux en ordonnent l’enlèvement au regard de cas de cancers ou troubles neurologiques avérés. A Hérouville Saint Clair, dans le Calvados, le Maire Modem a interdit l’usage de la WiFi sur sa commune, au principe justement de précaution.
Où est la vérité scientifique ?
Il est nécessaire aujourd’hui de faire aboutir une recherche sur l’impact de ces antennes sur la santé des êtres vivants, et cet observatoire est l’outil adéquat.
Cependant, il nous semble qu’il ne faut pas se cantonner au local, qu’il faille élargir le débat et impliquer de grandes villes et métropoles dans cette étude, afin d’obtenir des résultats probants qui pourront influer sur les décisions futures dans ce domaine.
Lors du conseil municipal du vendredi 25 septembre le MoDem a soutenu la motion présentée par les Verts sur « la mise en place d’un observatoire pour une réglementation des implantations des antennes relais sur notre territoire ».
Le principe de précaution fait partie du développement durable et nous le devons aux générations futures. Cette proposition d’un observatoire pour une réglementation des implantations sur notre territoire appartient donc au principe de précaution et c’est en ce sens que nous devons le mettre en place. Il n’est pas question d’affoler les populations ni d’en faire un enjeu politique : c’est la santé de nos concitoyens qui est en jeu et dont nous avons la responsabilité dans le cadre de notre mandat.
Nous avons tous lu des études divergentes sur la dangerosité ou non de ces antennes : les fournisseurs de téléphonie affirment qu’elles ne le sont pas, des études scientifiques indépendantes affirment le contraire. Des municipalités les interdisent près des écoles maternelles, elles ont peut-être raison. Des tribunaux en ordonnent l’enlèvement au regard de cas de cancers ou troubles neurologiques avérés. A Hérouville Saint Clair, dans le Calvados, le Maire Modem a interdit l’usage de la WiFi sur sa commune, au principe justement de précaution.
Où est la vérité scientifique ?
Il est nécessaire aujourd’hui de faire aboutir une recherche sur l’impact de ces antennes sur la santé des êtres vivants, et cet observatoire est l’outil adéquat.
Cependant, il nous semble qu’il ne faut pas se cantonner au local, qu’il faille élargir le débat et impliquer de grandes villes et métropoles dans cette étude, afin d’obtenir des résultats probants qui pourront influer sur les décisions futures dans ce domaine.